"Pour travailler avec 120 enfants, qui ne parlent pas tous
très bien anglais, il faut une voix puissante et une grande
patience. Mais les enfants réagissent bien. Cela m'étonne
qu'ils apprennent si vite les structures chorégraphiques
et qu'en même ils n'arrivent pas à improviser, à
utiliser la liberté de l'improvisation.
Par contre, si on les observe pendant les pauses, par leur jeux
et leur manière de bouger, on voit la vraie danse de la jeunesse
africaine."
Roger
|